Un sonnet est composé de deux quatrains (strophe de 4 vers) et de deux tercets (strophes de 3 vers). Les sonnets de L. Labé n'ont pas de titre : on les désigne par le premier vers. SONNET : « Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés ». Difficile.
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Les Sonnets de Louise Labé. 1555. Louise Labé (1524-1566) est la femme poète la plus célèbre du 16 e siècle. Défendant l’égalité entre les hommes et les femmes dans tous les domaines, elle écrit selon un point de vue féminin rare pour l’époque.
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Ce mois-ci, Brittany C. a lu pour vous Les Sonnets de Louise Labé, poétesse de la Renaissance. Portrait de Louise Labé, Etude biographique et bibliographique sur Claudius, Brouchoud Félix Desvernay, 1887. Poétesse du XVI e siècle, Louise Labé fait partie des icônes de la littérature française.
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Louise Labé (née à Lyon en 1524, décédée en 1566) a reçu une éducation complète, lisant le latin et l'italien, ce qui lui permit de s'inspirer de l’auteur italien Pétraque à qui on doit le recueil de 317 sonnets Canzoniese écrit en 1370.
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Louise Labé, « Tant que mes yeux pourront larmes épandre » (1555) Érudite, musicienne, mais aussi escrimeuse, Louise Labé compose des poèmes d'une grande liberté de ton. Revendiquant son droit à la passion, elle en dépeint les bonheurs et les affres d'un point du vue féminin.
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L’œuvre de Louise Labé, très mince en volume (662 vers), se compose d’un « Débat de Folie et d’Amour » (dans lequel Jean de La Fontaine a trouvé le sujet de l’une de ses fables), de trois Élégies et de vingt-quatre sonnets, lesquels expriment les tourments féminins de la passion.
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Le sonnet"Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie" est publié en 1555, et s’inscrit dans la tradition Pétrarque de la poésie amoureuse : c’est un sonnet en décasyllabe à rimes embrassées.
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Louise Labé. SONNET I Si jamais il y eut plus clairvoyant qu'Ulysse, Il n'aurait jamais pu prévoir que ce visage, Orné de tant de grâce et si digne d'hommage, Devienne l'instrument de mon affreux supplice.
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Née à Lyon vers 1524, d’un père artisan cordier d’origine italienne (Pierre Charly, dit Labé), surnommée « la Belle Cordière », Louise Labé a reçu une éducation humaniste, à l’italienne : elle brode, sait le latin et l’italien, chante, joue du luth, monte à cheval.
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