qu’il ait, qu’il n’ait ? Bonjour, Qu’en dites-vous, les voltairiens ? « sans qu’il ait jamais eu besoin de rien dire » ou « sans qu’il n’ait jamais eu besoin de rien dire » ? Pour vous améliorer en orthographe, testez les modules d’entraînement du Projet Voltaire : Il ne faut pas accompagner « sans que » de « ne ».
Cependant,"aie" correspond à la première personne du singulier de ce temps, comme dans l’exemple"pourvu que je n’aie pas perdu mes clés"."Elle ait" est en revanche une conjugaison tout à fait correcte, car correspondant bien à la 3e personne du singulier du subjonctif présent. On peut ainsi sans problème citer un exemple comme ...
Dans la mesure où le pronom on représente des personnes connues (celles qui ont gagné), il est préférable de désigner ces personnes par le pronom personnel correspondant (probablement nous). « On » est du registre familier. (Quand les personnes sont inconnues, l’usage de « on » est alors possible comme pronom indéfini signifiant ...
Il faut écrire"qu'elle ait", toujours et sans aucune exception. Dans la tournure"qu'elle ait", tu conjugues le verbe"avoir" au subjonctif présent à la troisième personne du singulier. Il n'y a pas à réfléchir ou à chercher une quelconque logique, c'est"qu'elle ait". En revanche, tu termines par un"e" si tu dis"que j'aie".
Meilleure réponse. Il semble que (+ subjonctif) exprime une incertitude, une éventualité, ou une affirmation atténuée : il semble qu’il se soit perdu ; il semble que vous ayez raison. Il semble que (+ indicatif) marque une réalité que l’on constate selon toute apparence : il semble qu’il s’est perdu ; il semble que vous avez raison.
Meilleure réponse. BelleMarquise. 21 avril 2017 à 18:40. Bonsoir, Il faut un"t".Après craindre que, on utilise le subjonctif : ici"il (y) ait" puisque c’est le verbe avoir à la 3e personne du singulier, subjonctif présent. Quand ce verbe avoir conjugué s’écrit"ai", c’est l’indicatif présent, 1re personne du singulier :"j’ai".
Vous n’avez bien sûr pas à appliquer les contraintes de temps mentionnées dans les autres réponses. Dans votre cas, l’antériorité de la subordonnée (son dossier a été retenu) est marquée par un temps passé, c’est bien normal. Donc : « il est ravi que son dossier ait été approuvé « .
Pour qualifier des faits ponctuels, l’indicatif suffit (j’ai pris le plus gros marteau que j’ai trouvé dans le magasin), car il ne sert pas à développer le sens du superlatif. Dans le cadre du subjonctif, l’ajout de « jamais » insiste sur le sens absolu de la proposition (les meilleurs qu’il ait mangés de toute sa vie). C’est ...
Vous avez raison de douter car le subjonctif qui s’emploie avec « que » n’est pas correct ici. Il n’y a rien qui ne puisse être expliqué. Il faut qu’il n’y ait rien à expliquer. Donc la phrase donnerait : Il n’y a rien, sur terre comme au ciel, qui ne peut être expliqué (vu que ça exprime une certitude).
Pour cet homme, il se peut qu’il n’ait pas de pardon : ici « il » reprend « homme ». C’est un pronom personnel. Nous pouvons donc faire varier la personne : Pour toi, il se peut que tu n’aies pas de pardon – Pour vous, il se peut que vous n’ayez pas de pardon – etc. Si nous mettons la phrase au passé : Cet homme, il se ...